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C'est une injustice
de plus !
liberté
égalité
fraternité
La devise est caduque
une devise que le Monde entier nous
enviait. |
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Art.
7
Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction,
à une égale protection devant la loi
Art.
10
Toute personne a droit, en pleine égalité, à
ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement
par un tribunal indépendant et impartial
Déclaration
des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789
Les
représentants du peuple français, constitués
en Assemblée Nationale, considérant que l'ignorance,
l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les
seules causes des malheurs publics et de la corruption des
gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une déclaration
solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés
de l'homme, afin que cette déclaration, constamment
présente à tous les membres du corps social,
leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin
que les actes du pouvoir législatif et ceux du pouvoir
exécutif, pouvant être à chaque instant
comparés avec le but de toute institution politique,
en soient plus respectés ; afin que les réclamations
des citoyens, fondées désormais sur des principes
simples et incontestables, tournent toujours au maintien de
la Constitution et au bonheur de tous. En conséquence,
l'Assemblée Nationale reconnaît et déclare,
en présence et sous les auspices de l'Etre Suprême,
les droits suivants de l'homme et du citoyen.
Extrait
Article
premier
Les hommes naissent et
demeurent libres et égaux en droits.
Article 10
Nul ne doit être
inquiété pour ses opinions, mêmes religieuses,
pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public
établi par la loi.
Article 11
La libre communication
des pensées et des opinions est un des droits les plus
précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler,
écrire, imprimer librement, sauf à répondre
de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés
par la loi.
Article 12
La garantie des droits
de l'homme et du citoyen nécessite une force publique
; cette force est donc instituée pour l'avantage de
tous, et non pour l'utilité particulière de
ceux à qui elle est confiée.
Blabla
?
On
dit que l'homme libre a deux patries, la sienne et la FRANCE
!
A
méditer !
|
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Une
amende, parce que l'enseigne est à moins de 200
mètres de la voie "rapide" [ici à
90 km/heure] hors agglomération, dangereuse pour
la circulation parce qu'elle se voit
« comme
un nez au milieu de la figure
» [le
procureur
de la République] et interdite par arrêté
préfectoral assorti de la menace d'une astreinte
journalière de plus de 83 euros en cas de refus
d'obtempérer. Un arrêté préféctoral
pressenti -comme par hasard- quelques jours avant par
le journal local
|
Prémonitoire
ou bien informé, le journal
?
L'enseigne a été placée le 05 mai 2000
et le procès verbal est daté du 24 décembre
2000. Les gendarmes ont mis presque 8 mois pour s'apercevoir
que l'enseigne était un danger pour la circulation
et la décision de la faire retirer à été
prise -par décret- par le préfet pour un ultimatum
au 6 juin 2001, soit un retrait plus d'un an et un mois après
sa mise en place
Vous parlez d'un danger !
alors
que la loi autorise -en cas de danger- une procédure
de retrait d'urgence aux frais de l'intéressé
Personne
!
personne n'a voulu préciser en quoi cette enseigne
était dangereuse pour la circulation.
Le Tribunal de Lourdes a condamné "Ephphata"
à une amende parce que l'enseigne est « à
200 mètres ou moins, du bord d'une voie rapide
» [90 km/h. dans cette portion.]
Et pourtant, à quelques centaines de mètres
d'Ephphata, sur la même voie express, dans le
même village
à moins de 200 mètres
de la voie "rapide" et aussi hors-agglomération
|
C'est
la voie express qui contourne l'hôtel, un hôtel
-hors
agglomération-
éclairé par 7 lampadaires, comme pour mieux
attirer l'attention du client [mais pas celle du conducteur
!
] donc l'enseigne n'est pas dangereuse
Et juste à côté
|
|
Là,
la DDE, les gendarmes de Lourdes, ne semblent pas
les avoir vues
le préfet, les élus
non plus ; et pourtant l'inauguration du pont s'est
faite à quelques mètres de là
|
Sur la même voie express,
quelques kilomètres plus loin
pourtant à
moins de 200 mètres de la R.N. 21, et aussi hors
agglomération !
|
|
Et
juste en face, à 19,80 mètres de la 2x2
voies,
une préenseigne
Elle vient d'être renouvelée
|
|
Toujours sur la R.N. 21 et hors agglomération
|
|
Le
supermarché est situé sur la commune d'Ayzac-Ost
On ferme les yeux
parce qu'il y a
l'emploi
!
|
Bien
sûr, il n'est pas question, pour Ephphata, d'exiger
des pouvoirs publics, le retrait de ces enseignes à
moins de 200 mètres de la RN 21 comme l'impose la loi,
au contraire
Les retirer serait condamner ces commerces
à la faillite ; d'autant plus qu'ils étaient
là avant la déviation.
C'est la loi qui est débile ! Comment -et pourquoi-
les députés ont-ils voté cette loi ?
Est-ce qu'ils réfléchissent, quand ils votent,
aux conséquences qu'engendrent ces lois pour le citoyen
?
Le but de ce dossier est de faire comprendre que c'est peut-être
plus « Ephphata » qui dérange à
Lourdes que l'enseigne elle-même ! On a cherché
la faille pour faire retirer l'enseigne d'Ephphata
en
occultant -INTENTIONNELLEMENT- un article de cette loi qui
donnait un délai de 2 ans pour régularisation
Liberté
Egalité
Fraternité
Le
local et l'enseigne sont antérieurs à la déviation
et à plus de 200 mètres de la Nationale 21.
C'est la R.N. 21 qui s'est rapprochée du local [déviation
oblige] qui n'est devenue « voie express » seulement
après la construction du pont qui enjambe le gave de
Pau
A l'intérieur
des agglomérations, la publicité et les
enseignes et préenseignes visibles d'une voie rapide
sont interdites de part et d'autre de celle-ci sur une largeur
de 40 mètres mesurée à partir du bord
extérieur de chaque chaussée.
Toutefois, l'autorité investie du pouvoir de police
peut les autoriser dans les limites et aux conditions qu'elle
prescrit. (Dérogations donc possibles aux bienheureux
qui connaissent un ami
influent et malheur au
concurrent - N.d.l.r.)
En dehors des agglomérations, la publicité
et les enseignes publicitaires et préenseignes visibles
d'une voie rapide sont interdites de part et d'autre de celle-ci
sur une largeur de 200 mètres mesurée à
partir du bord extérieur de chaque chaussée.
(Aucune dérogation n'est donc possible
contrairement
à ce qu'affirme la DDE - N.d.l.r.)
« Lorsque, par suite de modification concernant la voirie,
une publicité, enseigne ou préenseigne cesse
de satisfaire à la réglementation en vigueur,
le point de départ du délai de deux ans prévu
à l'alinéa 7 de l'article 3 de la loi du 3 juillet
1934, modifiée par la loi n° 55-434 du 18 avril
1955, est la date d'ouverture au trafic de la voie avec ses
nouvelles caractéristiques. »
Un délai que la DDE et Monsieur Laugier, ingénieur,
se refusent à préciser d'ailleurs
Un article de loi que la DDE, les gendarmes de Lourdes, le
préfet, le procureur, le juge, ont délibérément
occulté
Comme « Nul n'est censé ignorer la loi !
», tout cela semble tendancieux
Personne des autorités judiciaires n'a exigé
de la DDE et de Monsieur Laugier qu'ils précisent la
date exacte d'ouverture au trafic de la "2x2 voies"
en tant que voie express et arrêter la date butoir à
laquelle nous êtions -pour être en conformité
avec la loi- tenus de retirer l'enseigne [il s'agit là,
en l'occurrence, de l'habillage de la façade par une
bâche sur laquelle figure une information cultuelle
-non commerciale- « www.Ephphata.net ».
Liberté
de faire ce que les autres font
Egalité
devant la loi
Fraternité
de
la devise de la République française : lien
existant entre les hommes considérés comme membres
de la famille humaine
sentiment profond de ce lien
[Robert]
La
devise est caduque
Tout
part à vau-l'eau
Deux
poids, deux mesures !
Une PUB, à moins de 200 mètres
de la voie express, hors-agglomération, et mise
là par la D.D.E. elle-même avec la caution
des pouvoirs publics !
|
|
"légales"
; "non dangereuses", et elles rapportent de
l'argent !
Que demande le Peuple ?
|
|
Un
rappel de la PUB à la fin de la voie express
[RN 21] sur un rond-point au tracé débile
véritable slalom
aux portes virtuelles,
ayant provoqué plusieurs accidents !
|
|
« Comme un nez au milieu de la figure
»
|
|
Illégales
exposées là en toute impunité
mais elles rapportent de l'argent !
donc
non dangereuses !
|
Deux
poids, deux mesures !
un autre exemple
La Société du Tour de France est
une entreprise privée !
Illégales, toujours sur la R.N. 21, sur le rond-point
au tracé débile, véritable chicane
mais mises là avec la caution de la DDE, des
pouvoirs publics
donc jugées non dangereuses
|
Illégales
mais mises là par la DDE avec la caution
des pouvoirs publics
toujours sur la R.N.
21, sur le rond-point au tracé débile
mais
elles attirent des touristes, donc des consommateurs,
et cela n'a pas de prix !
On ferme donc les yeux
|
|
|
Deux
poids, deux mesures
|
|
Toujours
à la fin de la voie express au rond-point
au tracé débile
à l'attention
des touristes qui ne connaissent pas la région
mais non dangereuses car pas de nature à
attirer l'attention du conducteur
[les
gendarmes de Lourdes] |
|
|
|
Juste
un bref rappel d'affichages occasionnels
Ephphata
a été verbalisé par le gendarme Fabre
pour « apposition et maintien d'une publicité
hors-agglomération » donc illicite
et donc entendu par les gendarmes de Lourdes et sommés
de ne plus recommencer. Juste à côté,
d'autres sont en place depuis des années, en toute
légalité, et ils ne semblent pas choquer
le gendarme tatillon
Allez comprendre !
|
|
On reconnaît ici, en bleu, une partie du bandeau
d'Ephphata, collage qui nous a valu le privilège
d'être entendu par les gendarmes de Lourdes avant
communication du dossier au procureur de la République
pour une comparution éventuelle au tribunal
Le panneau est toujours en place, et tout le monde continue
de coller
Plus nous !
|
Un
affichage dit "sauvage" pour lequel Ephphata a été
-maintes fois- entendus par la gendarmerie
aujourd'hui
toujours autorisé, voire toléré
mais en aucun cas pour Ephphata !
C'est de la ségrégation
|
|
Plus grave encore !
Toujours sur la R.N. 21 : d'autres publicités -illégales-
que nous trouvons dangereuses indépendamment du
fait qu'elles soient hors-agglomération, et placées
là -chaque année- pendant plusieurs semaines
-voire plusieurs mois- en toute impunité
Les gendarmes, la DDE, le préfet
personne
ne semble les voir !
|
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Recto
Verso
|
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Incroyable,
mais vrai !
des photos réalisées
sans trucage
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Illégales,
dangereuses
pas semble-t-il pour les pouvoirs
publics, DDE
gendarmerie
sous-préfecture
procureur
élus
et cependant, on dénombre
en moyenne, chaque année, 2
500 morts sur les routes dues à l'alcool.
Combien de fois l'enseigne « Ephphata »
a-t-elle tuée ?
Quand
on veut tuer son chien !
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|
|
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Lacune
!
|
On peut voir, sur la RN 21, à l'entrée
de la bretelle d'accès, un panneau autorisant
une vitesse à 110 km/h
alors qu'elle est,
jusque-là, limitée à 90 km/h et
que les contrôles de vitesse se font juste en
amont !
N'était-il pas plus prudent de placer ce panneau
à la sortie de la bretelle pour une sécurité
plus grande ?
Ils en auraient des choses à revoir, sur les
routes, nos amis cantonniers !
|
|
L'enseigne
« Ephphata » a été jugée
dangereuse par la DDE
Or, il est des gestes faits par la DDE -sur la même
voie express, au pied même de deux hôtels-
et que nous, à Ephphata, estimons bien plus dangereux
et nous aurions été juges, que nous l'aurions
condamnée à une forte amende
mais
nous ne jugeons pas !
Nous serions heureux toutefois de voir la DDE retirer
-au plus vite- ces déchets pour la sécurité
de ceux qui boivent
et de ceux qui pêchent.
|
|
Remblayer
les berges du gave de PAU avec de tels résidus
|
|
Stocker de tels résidus à proximité
du gave
alors que l'on sait les dangers des hydrocarbures
sur l'environnement et donc sur la santé
sachant qu'en aval, bon nombre de municipalités
y puisent l'eau pour un usage domestique
Ils devraient se faire plus de soucis, nos amis cantonniers
!
|
|
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Ephphata
est né en 1970 dans le nord de la France, près
d'Abbeville
De Larreule, près de Maubourguet, au Nord du département
depuis 1989, nous nous sommes rapprochés de Lourdes
en 2000
A
Lourdes, cela aurait dû être bien accepté,
voire toléré ?
Eh bien, non !
c'est peut-être même le contraire,
comme si Lourdes était
"chasse gardée
!"
Pourtant, comme en une prémonition, nous avions annoncé
la couleur et hissé le drapeau blanc
|
|
Comme le disent les gendarmes de Lourdes : « Nous n'en
voulons pas à Ephphata en particulier ! On ne se lève
pas le matin en se disant : tiens on va aller embêter
Ephphata
Non, il y a des lois, et il faut les respecter,
c'est tout ! Nous on n'a pas d'état d'âme !
»
Nous,
à Ephphata, on aurait presque cru le contraire
comme quoi !
|
|
Vous
vous servez de dés pipés, et vous vous
croyez triomphants.
Mais,
amis, croyez-vous que de tricher assure la victoire ?
|
Raphaël
Archange
médium : marcelle olivério
extrait du livre Ephphata
|
|
|
|
|
Même
sans la banderole sur la façade, le site"
Ephphata" est un succès : vous êtes
des milliers à nous contacter chaque mois [les
statistiques le confirment] et nous vous en remercions
Merci
de votre fidélité et
que Dieu vous
garde !
|
|
|
Tous les détails -si cela vous intéresse bien
sûr- sont dans la rubrique : « Intrigues autour du Site
».
|
|
Le boulevard
qui tue à Lourdes !
On
l'a vu : La DDE, en la personne de Monsieur Laugier, mais
aussi les gendarmes, le procureur, le préfet Bastion
les élus
TOUS semblent très pointilleux
sur la sécurité
on ne bâdine pas
avec la vie d'autrui !
Or, à Lourdes
tout
à côté de la DDE
toujours sur la RN 21
en
aval de l'enseigne dangereuse d'Ephphata
Tenter le diable ?
Un
motard est mort
Une vieille dame renversée
et pourtant, rien ne bouge.
Le soir du réveillon, on a encore
frôlé le drame
alors qu'une femme traversait
sur le passage piéton avec ses trois enfants, trois
voitures se sont percutées parce que l'une d'elle a
stoppé pour laisser passer les piétons
Mais
jusqu'où faudra-t-il tenter le diable ? comme le dit
le journal de Lourdes : L'Essor.
«
Un nouvel accident est venu étayer les revendications
des riverains qui réclament -en vain- depuis de nombreuses
années, la création d'un rond-point sur ce véritable
point noir de la RN 21 [N.d.l.r. - Lourdes-Gavarnie] Une solution
qui n'a jamais eu les faveurs de la DDE et que la ville ne
peut financer seule
»
[N.d.l.r. - Pourquoi une vitesse limitée là
à 70 km/h jusque après l'entrée de la
route de Bagnères sur la RN 21, au lieu de 50 partout
ailleurs !
C'est encore la logique DDE
Ils en
auraient des choses à revoir, sur les routes, nos amis
cantonniers !
Depuis
plusieurs années, les riverains se battent pour cela
: sécuriser les lieux par la construction d'un rond-point
Certains se proposent même d'offrir le terrain ; mais
cela coûte cher et les autorités sont muettes
La
préfecture (Monsieur Bastion), la DDE (Monsieur Laugier)
avaient promis
ils feraient le nécessaire au
plus tard avant fin 2003, mais rien ne se fait
Depuis,
le préfet Bastion a été muté chez
les Cathares, à Carcasonne, comme son prédécesseur
Tout
cela pour dire que « même si une vie n'a pas de
prix
», il en est autrement quand il sagit de
mettre la main au portefeuille
Rappelez-vous, l'enseigne
« Ephphata » a été retirée,
par ses mêmes protagonistes, parce qu'elle était
un danger pour la circulation routière
et une
amende de 542 euros
imposée.
Il
faudrait imposer des amendes à la DDE -et ce ne serait
que justice- quand un accident survient par négligence
de ses responsables
On le fait bien pour les maires
en cas d'accident
A Lourdes, c'est comme ailleurs !
il n'y a pas de miracle
!
D'ailleurs
nous allons nous interdire, à l'avenir, de relever
de
dénoncer toutes ces
exactions.
Tout cela va mal finir
Nous ne rappellerons pas, l'attitude difficile de Chantal
Robin-Rodrigo, députée de Maubourguet [ville
où était le siège d'Ephphata depuis 11
ans] et qui, parce que candidate à Lourdes, annonçait,
soudain, en pleine campagne électorale, par médias
interposés, vouloir [tout d'un coup] la peau d'Ephphata
« un groupement qui ne vit que pour prendre l'argent
à nos concitoyens
» alors qu' à
Ephphata, depuis plus de 30 ans -Marcelle Olivério
y tenait plus que tout- tout y est fait de façon bénévole
!
Nous
ne reviendrons pas sur le fait que l'enseigne mise en place
le 7 mai 2001 n'a été l'objet d'un procès
verbal de la gendarmerie de Lourdes faisant état de
son caractère dangereux pour la sécurité
routière que le 24 décembre 2001 seulement !
Et l'enseigne dangereuse fut retirée -par décret
préfectoral- le 6 juin 2002 !
Nous n'allons
pas vous relater comment nous avons eu un P.V. à Lourdes
par un CRS de Lannemezan pour
tapage diurne
sur
le pont Saint-Michel, à l'entrée du Sanctuaire
alors que le boulevard et la rue de la grotte sont insonorisés
et que les eaux du gave grondent à cet endroit ; «
le son, même vitre ouverte, ne doit pas dépasser
le volume de l'habitacle. » a-t-il dit d'un ton agressif
Là,
il pleuvait averse et les vitres du véhicule étaient
fermées
Et que le son des cassettes vidéo à vendre dans
les magasins autour du Sanctuaire emplit les trottoirs avoisinants
En ces circonstances, il ne vaut mieux ne pas relever et courber
le dos ;
La Fontaine l'a dit : « La raison du plus fort est toujours
la meilleure !
»
Alors que l'on entend, le soir, à plus d'un kilomètre,
les chants émanant des Sanctuaires
nous avons
été arrêtés plusieurs fois pour
tapage nocturne dans les rues de Lourdes
Nous n'allons pas vous relater le P.V. pour excès de
vitesse, à la sortie de Lourdes, alors que la voiture
siglée d'Ephphata était la 3ème d'un
lot de 7 voitures immatriculées dans le département
et qu'aucune autre n'a été arrêtée
et verbalisée
Nous n'allons pas vous relater combien de fois -par semaine-
le véhicule d'Ephphata est arrêté -l'été-
sur la route, de jour comme de nuit
pour contrôle
des papiers
Non, nous n'allons pas vous relater que le gendarme Baquet
-le même qui avait entendu Marcelle Olivério
en juillet 89 pour "affichage sauvage"- a trouvé
les sigles trop gros sur la voiture et s'est donné
un délai de trois semaines pour chercher comment les
faire retirer
Nous n'allons pas vous relater comment le gendarme Fabre a
verbalisé "Ephphata" pour un bandeau collé
sur un panneau illicite
mais maintenu en place et où
tout le monde colle depuis des années
Non, nous n'allons pas vous relater le procès-verbal
du gendarme Juin parce qu'un bandeau d'Ephphata ne faisait
pas apparaître le nom de l'imprimeur
en faillite
; en fait une autre affiche l'avait recouvert et il ne l'avait
pas remarqué
Nous
ne vous rappellerons pas non plus les détails relatifs
à la perquisition au siège d'Ephphata par 6
gendarmes rentrés là par effraction
Nous
n'allons pas, non plus relater comment ces gendarmes ont contrôlé,
lors de cette perquisition, les papiers du véhicule
d'Ephphata, « parce que siglé, ils en avaient
le droit ! » ont-ils dit ; et comment, plus tard, le
même gendarme présent à la perquisition
a, à nouveau, contrôlé les papiers -dans
la rue cette fois- et a assorti ce contrôle d'une amende
de 90 euros parce que l'adresse sur la carte grise, n'avait
pas été changée
Nous
n'allons pas non plus insister sur le fait que les gendarmes
[alors qu'ils occupaient un espace réservés
aux transporteurs de fonds pour permettre à un de leur
collègue de retirer du liquide au distributeur de la
Société Générale, rue de la Grotte
à Lourdes] ont suivi -collé- la voiture d'Ephphata
sur plus d'un kilomètre et demi, en fait jusqu'à
la sortie de Lourdes [à croire qu'ils n'avaient rien
à y faire, en centre ville !] pour
nous inviter à nous garer sur un parking, à
l'entrée du Centre Leclerc pour un PV parce qu'un stop
arrière était grillé ! Alors que, ironie
du sort, ce même fourgon roulait aussi, la veille, avec
un stop grillé ; comme quoi, cela peut arriver à
tout le monde ! Mais étant plus nombreux, ils s'en
aperçoivent plus rapidement
Nous ne vous rappellerons pas non plus les détails
de l'accusation « de travail au noir et/ou l'emploi
de personnel étranger travaillant au siège d'Ephphata
sans autorisation
»
Nous ne vous rappellerons pas la fausse accusation
par les gendarmes du dépôt d'une bombe par Ephphata
à la gendarmerie de Maubourguet
puis faute de
preuve, cette accusation a été commuée
en "seulement" une
« fausse alerte à
la bombe
». Une procédure qui a permis
de contraindre l'opérateur à communiquer la
liste de tous ceux qui avaient utilisés le téléphone
pour joindre Ephphata, permettant à ceux-ci de les
convoquer au commissariat pour être entendu et d'étoffer
leur fichier
Nous ne vous rappellerons pas, enfin, les émissions
-diffamantes- diffusées sur Radio Présence,
la radio catholique des Sanctuaires de Lourdes sur Ephphata
« La secte qui se dit "guérisseuse"
et pour qui "Ephphata" ne veut pas dire : ouvre-toi
! mais
ouvre ton portefeuille pour que nous y prenions
l'argent dont on a besoin ! »
Si
ce n'est pas du harcèlement moral, ça y ressemble
NON,
nous n'allons plus dénoncer tout cela
Tout cela
va mal se terminer
Nous allons suivre les conseils du Christ : se taire
tendre l'autre joue
Suivre le conseil de Jésus à ses disciples :
« Soyez prudent comme le serpent, et doux comme la colombe
» tout en sachant que si Dieu est amour, Il n'est pas
faiblesse
et que Sa justice est sans faille
Et
comme Christ, nous aimerions dire : « Père, pardonne-leur,
ils ne savent pas ce qu'ils font !
»
; mais nous sommes encore trop
"humains". Le
choc en retour, on l'a toujours, dans cette vie
où
dans l'autre.
« Que celui qui a des oreilles, entende
»
[Jésus]
Un
peu d'histoire !
C'est la France qui a offert la statue de la
liberté à l'Amérique
C'est aussi
la France qui, tout dernièrement a offert la
Tour de la Paix à Saint Pétersbourg !
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Elle
est trop, la France !
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Rappel
«
Les représentants du peuple français, constitués
en Assemblée Nationale, considérant que l'ignorance,
l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les
seules causes des malheurs publics et de la corruption des
gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une déclaration
solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés
de l'homme
» [Extrait de la Déclaration des
Droits de l'Homme et du Citoyen
]
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